Transcriptions » Résumés de documents historiques récemment créés

• Une parcelle de 16½ acres contenant :
  • 4554 cacaoyers âgés de 57 ans
  • 1100 caféiers plantés dans une zone dégagée à droite de la roue centrale, où les cacaoyers étaient morts
• Une parcelle de 12 acres avec 7624 caféiers âgés de 7 ans, partiellement appauvrie par les marécages
• Une parcelle de 12 acres comprenant :
  • 7624 caféiers âgés de 4 ans et 4 mois
  • Des bananiers intercalés
  • Une partie du terrain est pauvre, le reste est en état acceptable

En janvier 1805, une plantation comprend :

• 8½ acres de terrain, dont 1½ acre de cacao qui, ayant péri il y a environ 3 ans et 5 mois, a été replanté avec 703 jeunes caféiers, estimés à 5414 florins et 8 sous.
• 22½ acres situés près de l'entrée du chemin central jusqu'à la partie basse, plantés de 11400 caféiers d'âges divers et quelques cacaoyers, estimés à 14250 florins.
• 7½ acres situés des deux côtés du chemin central, s'étendant sur 6 chaînes de chaque côté, plantés de 1922 cacaoyers âgés de 16 ans et 3500 caféiers âgés de 9 ans et 6 mois, estimés à 5113 florins et 10 sous.

Le texte décrit l'inventaire d'une plantation coloniale néerlandaise, détaillant plusieurs parcelles :

• Une première zone avec 2984 caféiers et 1500 cotonniers plantés dans des zones peu fertiles, évaluée à 2258 florins
• Une deuxième parcelle située à droite du chemin central, d'une superficie de 22,5 acres, comprenant 10700 caféiers dont :
  • 740 arbres âgés de 26,5 ans
  • 3660 arbres âgés de 4,5 ans
  Cette parcelle est évaluée à 7180 florins
• Une troisième parcelle située à gauche du chemin central, également de 22,5 acres, contenant 10700 caféiers dont :
  • Une partie âgée de 26,5 ans
  • Une partie jeune de 4,5 ans
  Cette parcelle est évaluée à 11530 florins
• Une quatrième parcelle de 22,5 acres comprenant :
  • 4350 cacaoyers âgés de 22,5 ans
  • 3335 caféiers

La valeur totale transportée s'élève à 31468 florins.

Selon une déclaration du directeur Frans Christoff Rander, en présence du clerc assermenté Gijsbertus Johannes Pelle de la colonie de Suriname, un inventaire a été établi le 27 juillet 1774. Les experts désignés étaient :

• Antho Frouin
• J.C. Gossekij
• J.H. Mosenbarg (maître charpentier)
• C. Fyth (maître maçon)

L'inventaire mentionne une parcelle de terrain de 300 acres selon la carte cadastrale, évaluée à 10 500 florins. Une partie de ce terrain se trouve le long d'un canal dans la partie supérieure.

À la date du 9 septembre 1756, une description détaillée de la plantation Joonn Thijrone, située à Commewijne, a été réalisée. Cette plantation se trouvait entre la plantation Alteveel et le ruisseau Eena. La propriété appartenait à J.L. comte van Neale de Berlin. L'inventaire a été effectué par Benjamin Lange, qui avait reçu une autorisation écrite. Après le décès de Pieter Albert van der Meer, qui était l'administrateur de la plantation, les exécuteurs testamentaires ont transmis la gestion à H.L. Haillato. Cette transmission s'est faite sous l'autorité de Jean Dupeyrou, ancien conseiller à la Cour de Police et de Justice Criminelle, et selon les informations fournies par le directeur actuel, Hendrick Gerard Weeber.

En 820, une transaction commerciale a eu lieu concernant des marchandises et structures à Parate, comprenant :

• 6 conteneurs de café
• 25 tonneaux de café vides
• 50 tonneaux de sucre
• 78 planches en bois de différentes longueurs (1,5 décimètres d'épaisseur) destinées aux planchers
• 9 poutres de plancher de 25 pieds de long (7 à 8 décimètres d'épaisseur)
• Une écluse en bois de 60 pieds de long et 25 pieds de large, construite sur une base en pierre, avec :

• Une galerie
• Des poteaux en bois dur
• Un revêtement en planches
• Une toiture couverte de plomb
• Un plancher intérieur fait de planches d'un décimètre d'épaisseur

La valeur totale de la transaction s'élevait à 80 678,6 florins.

• Des galeries entourées de volets en planches hollandaises
• Des rails pour les bacs coulissants, faits en bois de copie à l'intérieur et en bois dur à l'extérieur
• 20 bacs montés sur des roulettes en bois de gaïac, reposant sur des piliers en pierre
• Un sol en planches de copie de 1,5 pouce d'épaisseur
• Un séchoir adjacent de 150 pieds de long sur 105 pieds de large
• Environ 18 000 carreaux rouges et blancs
• Une gouttière en pierre sous les piliers pour l'évacuation des eaux
• L'installation a environ 2,5 ans
• Une balance avec des poids de 300 livres
• Une grande bâche de 30 pieds sur 25 pieds

Dans un document de transport, on trouve l'inventaire suivant :

• Une écluse en bois dur vert de section carrée mesurant 25 pieds de long et 7 pieds de large, recouverte de planches de copie de 1,5 pouce et un plancher en planches hollandaises de 1,5 pouce, âgée d'environ 2 ans, évaluée à 1200 florins
• Un café-restaurant à deux étages mesurant 105 pieds de long et 48 pieds de large avec ses galeries, construit sur une base en pierre, fait de bois brun carré avec un revêtement en planches de copie et un toit en bardeau de bois, les chevrons sont en copie de 3 pouces carrés, les bardeaux sont posés sur des lattes hollandaises sur le toit et au-dessus de la galerie couverte de plomb plat, l'escalier est fait de planches hollandaises de 2 pouces et le sol de planches hollandaises de 1,5 pouce, les deux étages sont entourés de fenêtres en planches de pin, ainsi que les portes

Le testament mentionne Catharina Lucia Pater, la fille du frère du testateur, qui hérite à condition qu'elle atteigne 25 ans ou se marie. Si elle meurt avant cet âge et sans être mariée, l'héritage doit être transmis aux personnes mentionnées précédemment selon les mêmes conditions. Le testament stipule également que la moitié de la plantation nommée "La Jalousie", située dans la colonie de Suriname, ne peut jamais être vendue, hypothéquée ou aliénée de quelque manière que ce soit. Cette moitié doit passer aux :

• Enfants légitimes du fils du testateur et leurs descendants
• En l'absence de descendants, à Catharina Lucia Pater et ses descendants légitimes
• En l'absence de descendants de Catharina Lucia Pater, aux deux tiers à Mr Willem de Bruijn et Anna Cornelia de Bruijn et leurs descendants légitimes
• Le tiers restant revient au beau-père du testateur, Gerard van de Schepper

L'histoire concerne un héritage en Suriname datant de 1750. Le document mentionne plusieurs personnes impliquées dans la gestion d'une plantation appelée La Jalousie :

• Elisabeth van de Scheppen, l'épouse décédée
• Gerard van den Schepper, Anthonij Gril, Johannes Gril et Nicolaas de Reigiter, des marchands d'Amsterdam nommés comme exécuteurs testamentaires
• Herman de Schepper, habitant de La Haye, qui a pris la succession de son père Gerard van de Schepper
• Koeg van Goens, un marchand d'Amsterdam

Le testament stipule que la moitié de la plantation doit rester sous l'administration des exécuteurs testamentaires, sans possibilité de l'aliéner. Les revenus nets doivent être distribués après déduction de toutes les charges ordinaires et extraordinaires, des réparations et des améliorations nécessaires. Des conflits ont éclaté entre les parties, menant à des procédures judiciaires coûteuses.

Voici les points clés de ce texte historique néerlandais datant du 20 août 1764 :

• Une requête est présentée par Manlove et des marchands de Rotterdam concernant l'arrivée de 150 émigrants allemands du Palatinat qui souhaitent partir pour Philadelphie en Pennsylvanie.
• Ils demandent l'autorisation d'embarquer ces émigrants sur le navire Molly, commandé par le capitaine David Harvet, avec leurs bagages et provisions, sans payer de droits.
• L'autorisation est accordée à condition que les officiers enregistrent le nombre exact de passagers et que les demandeurs s'engagent auprès des magistrats de Rotterdam à :
  • S'assurer que les émigrants partent rapidement
  • Garantir qu'ils ne causeront pas de tort aux habitants
  • Se porter garants en cas de problème
• Une autre requête concerne Gerrit Pater et Albertina van Nieuwkerck de Nieuwenheym au sujet de la plantation La Jalousie dans la colonie de Suriname, qui a subi un incendie le 13 janvier 1764. Ils demandent l'autorisation d'emprunter 100 000 florins.

Le 11 mars 1744, Lorents Wried, propriétaire des plantations Roo rack et Claverblad, rappelle qu'il a reçu le 9 décembre 1741 du gouverneur Gerard van de Schepper un titre de propriété pour une parcelle de sable de deux chaînes quarante-sept pieds et demi. Le gouverneur Mauricius avait récemment fait annoncer dans toute la colonie que tous les titres de propriété accordés sous le gouvernement de Gerard van de Schepper devaient être :

• Envoyés pour approbation à la Société dans un délai de 6 mois
• Présentés au gouverneur dans les 12 mois

Cette parcelle était essentielle pour Wried car il y avait déjà :

• Travaillé la terre
• Construit un entrepôt
• Creusé un canal de drainage pour les deux plantations

Il argumente que ce petit terrain ne peut servir à personne d'autre que lui, d'autant plus que l'autre moitié du terrain avait déjà été accordée à son prédécesseur Pieter Melon par le gouverneur Temmingh le 3 avril 1728.

Le 20 et 21 août ainsi que le 26 septembre, une requête a été examinée concernant :

• Gerrit Pater, habitant à La Haye
• Alberting van Nieuwkerken de Nieuwenheim, son épouse séparée, vivant à Eck en Wiel dans la province de Gueldre

• La levée du fidéicommis imposé par testament sur cette moitié de plantation
• L'autorisation pour les administrateurs de négocier un emprunt de 100 000 florins

• Herman van de Schepper
• Willem de Bruyn
• Constantyn Gerard Nobel, représentant Jan Baptista
• Anna Cornelia de Bruyn
• Dirk van Lynden tot den Swanenburg d'Enhem, époux de Catharina Lucia Pater

Les propriétaires et locataires des plantations incluaient :

• A. andra Breukelwaart à la plantation Tjairfieldt (702 personnes)
• Gerrit Pater à Jalousie (293 personnes)
• Frans Schas à Goudmin et Blaccreeg
• Les héritiers de H. Macken et S. Bernad à Rosenburg
• La veuve de D. Pichot à Penoribo et Siparipabo
• Abraham Maas à Nieuwe hoop
• Frans des Loges et Pieter Mauricuus à Corcabo
• Jacob Eengeveld à Macriabo
• Cornelis de Bruijn à de Eendracht
• La veuve de Peter van der Werff à Nieuw acaribo
• Les héritiers de J.B. Fatio à Croppemombo
• La veuve de David de Hoy à de Herstelling
• Les héritiers de M. Ysidro à Quapibo
• La veuve de Nr. Lespinasse à L'Esperence
• J. van Roosbeek à Nieuw Rosenbeek

Le document continue avec d'autres propriétaires et leurs plantations, totalisant plus de 19000 personnes sur l'ensemble des propriétés.

Le 14 mai 1761, une procuration est établie par le notaire Cornelis van Homrigh à Suriname concernant la gestion des comptes courants. Cette procuration couvre également la période pendant laquelle Scherpingh gérait les affaires de Pater de son vivant, une tâche qu'il avait négligée. Le mandataire devra :

• Vérifier et approuver les données ou les contester en justice si nécessaire
• Reprendre l'administration des biens

Cette reprise exclut l'administration de la moitié de la plantation "la Jalousie" qui, au décès de Pater, devait revenir aux administrateurs alors nommés :

• Johannes Griff
• Nicolaas de Ruijter
• Gerard van de Schepper (ancien gouverneur de Suriname)
• Anthoni Grill

Le 7 avril 1767, Anthony Griff, Cocq, Van Goens et Herman Nicolaas van de Schepper font une déclaration légale. Van de Schepper est l'administrateur adjoint de la moitié de la plantation "la Jalousie" à Suriname, un héritage de feu Gerrit Pater den Ouden. Cette déclaration est adressée à Dirk Vollenhoven Willemszoon qui, par procuration du 31 janvier 1767 passée devant le notaire Jan Willem Engers à La Haye, succède à Constantinus van Son comme mandataire de Herman Nicolaas van de Schepper. Selon le testament du 16 novembre 1758, établi devant le notaire Johannes Thiery Bije à La Haye, Van de Schepper avait été nommé co-administrateur de la moitié de ladite plantation par son défunt père Gerard van de Schepper, ancien gouverneur du Suriname.

Selon l'acte daté du 26 juillet 1741, Gerard van de Schepper, agissant en tant que représentant de Stephanus Laurentius Comte de Neale, a vendu une propriété. Cette propriété est située entre la maison des héritiers de la veuve de Johannes van Stertsbergen (maintenant propriété de Charles Johannes Isak de Crepij) et la synagogue juive sur la Savane. Elle s'étend jusqu'à la propriété des héritiers de Pierre Dupeyrou. La Cour de Justice Civile a confirmé cette vente par un jugement du 21 décembre 1758, imposant un silence perpétuel à toute personne pouvant avoir des prétentions sur cette propriété. Le premier transfert avait été fait de Pieter Harmens à Samuel Althusius, conseiller fiscal.

1. La gestion des biens d'Eberhard après son mariage :
   • Les tuteurs doivent lui remettre les revenus annuels de ses biens
   • Après déduction des frais nécessaires
2. Les registres fonciers de la colonie :
   • Le délai de 9 mois fixé par le décret du 9 juin de l'année précédente expire le 9 mars
   • Ce délai concerne l'enregistrement des titres de propriété au secrétariat de la colonie
   • Beaucoup de résidents n'ont pas encore effectué cet enregistrement
   • Le bureau du gouvernement est ouvert de 10h à 12h
   • Les documents doivent être enregistrés au secrétariat avant d'être présentés au gouvernement
   • Les propriétaires doivent présenter leurs cartes pour approbation si elles ne le sont pas déjà

Le Mauricius publie le 10 mai 1743 à Paramaribo une ordonnance qui stipule que :

• Tous les habitants et planteurs de la colonie doivent prouver avant fin novembre que leurs titres de propriété et cartes de leurs terres sont enregistrés au secrétariat
• Ceux qui ont perdu leurs documents peuvent en demander de nouveaux
• Ceux qui ont des cartes non approuvées doivent les présenter pour approbation
• Les terres non encore mesurées doivent l'être rapidement
• Des sanctions sont prévues en cas de désobéissance

• En 1754, Jan de Rooij fait une demande concernant sa mauvaise conduite dans l'hôpital de Suriname.
• Jan Boom postule pour devenir percepteur des impôts modiques.
• Jan van Stamhorst Junior demande le secrétariat de Suriname.
• Jan Justus Meijer se présente comme capitaine dans l'armée de Suriname.
• Jean Labadie sollicite le poste de percepteur des droits d'entrée et de sortie.
• James Abercrombie demande le secrétariat de Suriname.
• Johan Maurits Hartman est nommé géomètre.
• Hendrik Talboth Junior et Hendrik Willem Talboth reçoivent l'approbation pour 500 acres de terre.
• Jan Nepveu postule pour le poste de percepteur des droits d'entrée et sortie.
• Jacob Siapel est nommé percepteur des ventes aux enchères.
• Le docteur Frans Herbert exerce la médecine, ce qui n'était pas l'intention initiale de la Société.
• Johannes Leonardus van Son est nommé percepteur des droits d'entrée et sortie en 1712.
• Jean Andre Sourton fait une demande de terres qui est rejetée en 1754.
• Jacob de Beer reçoit l'autorisation pour 500 acres de terre dans le ruisseau Sipars Pabo.
• Le gouverneur Jonathan Morcomb présente une requête pour importer du sel des îles voisines vers Suriname.
• Jean Louis Maijor présente ses lettres de créance pour le service de prédication en français, tandis que I.P.H Muzelius le fait en allemand, mais leurs demandes sont rejetées car elles n'ont pas l'approbation du clergé d'Amsterdam.

Un résumé des affaires administratives dans la colonie de Suriname pendant les années 1753-1754 montre les nominations et requêtes suivantes :

• Jan Woudenberg reçoit un terrain dans la crique de Paramarica
• Johan Godlieb van Eggerts obtient sa démission
• Louis George de Boisguion est nommé sergent-major
• Louis Nepveu reçoit sa démission mais reste disponible pour servir la société, obtenant le titre de capitaine-lieutenant avec salaire à partir du 11 janvier 1754
• Marius Antony Voerst van Avenbergen est nommé officier réformé
• Paulus Wipperman est nommé officier réformé

Plusieurs décisions administratives sont prises :

• Les médicaments doivent être envoyés tous les six mois au Suriname
• Seuls les militaires sans dettes et proches de la fin de leur service peuvent être postés aux endroits à risque de désertion
• Le receveur ne doit accepter que les lettres de change payables à Amsterdam

Le 17 mai 1754, l'assistant van Baaren, en l'absence du receveur provisoire Felia, envoie depuis Paramaribo une lettre datée du 15 octobre de l'année précédente, accompagnée d'une facture et d'un connaissement. Le conseil fiscal provisoire Nepveu envoie également depuis Paramaribo le 16 octobre de l'année précédente des documents concernant :

• Des affaires criminelles
• Des documents civils sur la vente de terres accordées à Andries Godfried Diets et ses associés

L'assistant Mourques demande des instructions concernant le jugement des litiges sur les terres abandonnées. Les documents sont transmis aux commissaires de la société, dont le juge Munter, pour examen et avis.

Ce document officiel datant de 1754 est un registre de résolutions concernant des demandes de terres et des nominations de fonctionnaires à Meta. Il mentionne plusieurs décisions administratives :

• Arnold van Rijckel est nommé officier réformé
• Abigael Bion fait une demande de terre qui nécessite des précisions
• Abraham van de Lande demande des terres
• Antoine Perrin de Salleneuve est nommé officier réformé
• Alexander Salonthai reçoit l'approbation d'un mandat pour des terres à Meta
• Agatha Aletta obtient l'approbation d'un mandat
• Andreas Goedowski fait une demande le 19 décembre 1753 concernant un terrain
• Anthony Willem Wolff reçoit l'approbation d'un mandat
• Andreas Mauricius obtient la permission de s'absenter pendant un an

Le document précise également que les assignations ne peuvent être expédiées sans l'avis approprié du gardien des garnisons.