Transcriptions » Résumés de documents historiques récemment créés

Les utilisateurs des Archives Ouvertes peuvent disposer d'un résumé des transcriptions réalisées à l'aide de la reconnaissance d'écriture manuscrite.
Les deux tâches de l’intelligence artificielle ne sont pas parfaites, mais souvent plus que suffisantes pour rendre le document historique compréhensible. Dans les transcriptions, les noms sont soulignés en vert et cliquables (pour rechercher les entrées personnelles sur les Archives Ouvertes pour le nom en question), les dates reconnues ont un fond gris clair et les noms de lieux reconnus ont un fond violet clair.


Le 23 juillet 1838, Theodorus Haasen, un marchand résidant à Grave, agissant comme mandataire du notaire Wilhelmus Wolterus van der Meulen basé à 's-Hertogenbosch, a déclaré qu'une vente publique aurait lieu le 30 juillet dans la commune de Reek, à l'auberge de Hendrikus van der Meulen, à 10 heures du matin.

Les biens mis en vente comprennent :

Ces biens, situés dans la commune de Reek, appartiennent à Wouter Wilhelmus Jan Heeren, propriétaire terrien résidant à 's-Hertogenbosch.

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En 25 juillet 1816, une réunion du conseil se tient en présence du président Van Meerten et des conseillers Lammens, Mirandolle, Morant, Graafland, Nedenburgh, Brunings et le secrétaire de Hoff. Les points traités sont :
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En 1766 et 1767, plusieurs événements importants se sont déroulés dans la colonie :

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Le 2 février 1778, un rapport est fait concernant les esclaves fugitifs de la colonie qui ont traversé la Maroni. La situation remonte au 26 novembre 1777, quand la Société (administration coloniale) a adressé une lettre aux autorités. Le 18 novembre 1777, une correspondance a été échangée concernant ces esclaves marrons.

Le 23 septembre 1777, le comte de Vergennes, ministre des Affaires étrangères de France, a répondu à l'ambassadeur Lestevenon van Berkenrode concernant plusieurs demandes :

Le roi de France a chargé le comte de Vergennes d'examiner ces demandes. Une lettre de l'ambassadeur au greffier, datée du 25 septembre 1777, accompagnait cette correspondance.

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15 décembre 1751 : Rien à signaler. 16 décembre 1751 :

17 décembre 1751 :

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Le gouverneur, après avoir donné une autorisation au plus ancien conseiller politique présent et confié le commandement militaire au major De Boisquijon en l'absence du lieutenant-colonel Spiering, est parti pour sa plantation Rust en Werk le 4 octobre 1757. Le 6 octobre 1757, il est revenu à Paramaribo. Un détachement militaire sous le commandement de l'officier Marchant est parti pour le Suriname le soir même. Le 7 octobre 1757, le capitaine Du Morin a informé que des esclaves fugitifs avaient été repérés à Para. L'enseigne La Chau a reçu l'ordre d'enquêter et de faire un rapport. Cette nuit-là, le peseur de café Jan Roll est décédé. Le 8 octobre 1757, le gouverneur est parti à 9h pour la rivière Suriname pour faire prêter serment aux citoyens, accompagné de :

La forteresse Zeelandia a tiré 7 coups de canon pour son départ. Une lettre concernant les esclaves fugitifs est arrivée de Para et a été remise à Creutz. Le soir vers 19h, l'inspecteur des sucres Johan Rodolph Wettstein est décédé.

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Le 30 août 1775, une petite patrouille de Noirs libres est envoyée près de Paramaribo pour espionner des esclaves en fuite. Ils rapportent avoir découvert un nouveau village avec des terres cultivées et avoir rencontré 7 fugitifs. Ils en ont blessé 4 mais n'ont pu les capturer, étant trop peu nombreux.

Le 31 août 1775, le capitaine Larcher, commandant de la forteresse de Nieuw Amsterdam, envoie un caporal en détention à la forteresse Zuelandia pour comportement inapproprié.

Le 1er septembre 1775, le colonel Fourgeoud demande des renforts pour remplacer ses hommes malades et épuisés par la sécheresse. Le commandeur convoque extraordinairement la Cour de police qui accepte d'envoyer des renforts, y compris des Noirs libres.

Ce même jour, des ordonnances de paiement sont émises pour :

Le 2 septembre 1775, le directeur de la plantation Raca rac signale un complot d'esclaves visant à l'assassiner. Le propriétaire Jan Ferrand part enquêter après l'arrestation de 3 meneurs.

Le 3 septembre 1775, le pasteur Snijderhans prêche.

Le 4 septembre 1775, deux nouvelles compagnies de Noirs et mulâtres libres sont formées près du canal de Wanica, avec présentation des officiers.

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En décembre 1771, plusieurs événements importants se déroulent à Suriname :

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Le 22 décembre 1745, il a été question de prévenir la vente de viande contaminée provenant de bêtes malades, pour éviter la propagation de maladies parmi les humains et les animaux. Un placcard de 8 février 1717 est renouvelé avec une modification : quiconque vend sciemment de la viande d'animaux malades sera puni.

Trois requêtes ont été présentées au conseil :

Le 23 décembre 1745, P. Chambrier a informé les membres de l'indisposition du Gouverneur et a présenté un document l'autorisant à présider les affaires en cours. Les notes du 22 décembre, le placcard et la notification ont été examinés.

Les sieurs Guldensheeden et Schultz ont fait rapport concernant l'interrogatoire d'un esclave noir fugitif de Cettical.

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À la mort de Lagies au Oranje pad, ses biens ont été transmis à Groebe. Les biens militaires de Kemnetz ont été distribués aux personnes n'en ayant pas encore reçu. À la mort de Gabriel Mons, il manquait des planches pour fabriquer son cercueil. Le conseil a donc décidé d'acheter des planches hollandaises ou anglaises. Le conseil n'a pas trouvé de chirurgien qualifié pour diriger l'établissement.

G. Raije a demandé à être nommé directeur des terres cultivables du Oranje pad en remplacement de Netzius qui a démissionné. Le 11 mars 1756, le conseil l'y a autorisé.

Une instruction a été lue concernant H.N. Herbert, S.J.G. Steenge et Frederik Hutting nommés évaluateurs des factures des médecins, apothicaires et chirurgiens. Les règles suivantes ont été établies :

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Le 4 juin 1751, il est rapporté que lorsque 13 ou 14 esclaves ont voulu se rendre chez les Pacificateurs en Saramacca, deux d'entre eux se sont séparés du groupe et sont revenus en arrière. S'étant perdus dans la forêt et entendant des bruits de coupe de bois, ils se sont dirigés vers ces sons. Ils ont demandé leur chemin à des Noirs qu'ils y ont trouvés, mais ceux-ci les ont capturés comme fugitifs et les ont livrés.

Les deux esclaves, Hendrik et Digo, ont avoué leurs intentions. Une sentence exemplaire est demandée contre eux.

Concernant l'esclave October, il a avoué plusieurs faits :

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En date du 4 juin 1751, il est rapporté que :

Suite à ces faits, October est considéré comme hautement criminel pour n'avoir pas informé son maître, les Blancs de la plantation ou les Blancs du voisinage de ces événements. Par son comportement, il a mis en danger non seulement les plantations Overtoom, Pallak et Robin, mais aussi toute la colonie.

La sentence demandée est qu'October soit conduit au lieu habituel d'exécution pour y être supplicié sur la roue, vivant, depuis le bas, jusqu'à ce que mort s'ensuive, puis que sa tête soit coupée.

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Le Heer I. Caucanas a obtenu, par un jugement du 22 août 1786 rendu par la Cour de Justice civile de la colonie, que Dido van Butini, une femme libre, soit condamnée à payer :

Si ultérieurement il était décidé que la somme versée par Dido van Butini devait lui être restituée et que Heer I. Caucanas ne s'exécutait pas, le comparant s'engage à rembourser immédiatement la dette comme si c'était la sienne, dès la première demande.

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Le 1er septembre 1805, Gottfried Heinrich Henningsen, directeur de la plantation La Palousie, fait une déclaration légale. Il annule tous ses testaments et documents similaires précédents. Dans son nouveau testament, il lègue :

Il demande que ces legs soient payés immédiatement après sa mort avec l'argent disponible. Si les fonds ne sont pas suffisants, le paiement devra être effectué dès que possible avec les premiers revenus, car il souhaite expressément que ces legs soient remis avant la liquidation complète de ses biens.

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Le testateur lègue au bénéfice d'une jeune fille mulâtre libre et baptisée, Susanna Henrietta Philipina, fille de la mulâtresse libre et baptisée Magdalena Henrietta van Buttini, une somme de 500 florins. Cette somme doit être :

Il lègue également à sa sœur Anna Catharina Maria Henningsen, épouse de Jacob Booijsen, habitant à Schleswig dans le duché de Holstein, l'héritage qui lui vient de leur père David Johann Henningsen. Cet héritage est placé sous la supervision de son mandataire Nicolaas Roh, avec tous les intérêts accumulés jusqu'au jour du versement. Le capital et les intérêts doivent être versés immédiatement à sa sœur dès que les exécuteurs testamentaires l'auront informée de son décès, après déduction des frais de gestion selon la coutume locale.

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En 1705, devant la cour de justice civile de la colonie de Suriname, Frans Bradpot Junior, procureur pour Antforis Faures, représentant le comptoir de négociation sous la direction de S.F. Chatelau à Amsterdam, présente une requête contre : La procédure concerne un acte hypothécaire présenté devant la cour en présence des honorables conseillers : Le procureur Jan Houtffuijs, spécialement mandaté par l'acte hypothécaire, déclare consentir à la demande au nom des parties requises. L'acte est ensuite examiné par la cour.
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En octobre-novembre, plusieurs transactions et décisions administratives ont eu lieu à Paramaribo :

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Voici la scène qui se déroule à Paramaribo :

La transaction implique plusieurs personnes :

L'acte est enregistré sous le numéro 168.

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Ce texte juridique historique décrit une transaction qui a eu lieu aux 17e ou 18e siècles (d'après le style d'écriture) dans les Pays-Bas. En voici les points principaux :
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Le 1er octobre 1786, Johan Christiaan Brotze est décédé sur la plantation Nout en Radelijk. Un inventaire de ses biens et esclaves a été dressé à la demande de Jan Antonie Job, qui avait été nommé exécuteur testamentaire et tuteur des héritiers mineurs par codicille du 4 octobre 1786. Ce codicille avait été établi à Paramaribo devant le premier clerc assermenté W.H. Esser et des témoins. L'inventaire a été réalisé et transcrit par Gijsbertus Johannes Teelmann, clerc assermenté au secrétariat de la colonie du Suriname.

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Le 27 janvier 1776, depuis Suriname, H. D. Lobre rédige une lettre de change destinée à Jan & Theodore van Marselis à Amsterdam. Il leur demande de payer à J. C. Brotze ou à son ordre, 6 semaines après présentation, la somme de 192 florins et 10 sous. Ce montant correspond à un semestre de salaire comme directeur de la plantation Salsthale. Le 12 février 1776, J. C. Brotze endosse cette lettre à l'ordre de Daniel Salomons Blog, ayant reçu la contre-valeur de Salomon Gomperts.

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Le Commewijne, situé sur la rive droite entre les plantations de Liliendaal et Sorgkriel, appartenait à l'honorable Jacques Roua. L'inventaire a été réalisé à la demande du propriétaire et selon les indications du responsable J. J. Brotze. L'estimation a été faite par les honorables F. L. Chailes et N. Guiran, et enregistrée par le greffier assermenté J. F. H. Ardrew au secrétariat de la colonie du Suriname.
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Le 923 à Paramaribo, une estimation a été faite d'une maison et d'un terrain situés dans la rue Grave, entre les propriétés de Amie Buttins et de G. A. Kerman. Cette estimation a été demandée par le maître charpentier J.C. Schreij et réalisée par les juges-priseurs assermentés C. M. van den Oever et N. O. Pelichet, nommés par la Cour de Police et de Justice Civile. Les dimensions sont les suivantes :
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En 1791, une évaluation de la plantation Laliendaal a été effectuée. Cette plantation était située sur la rive droite de la rivière Commewijne, entre les plantations Nooitgedacht et Visserszorg. Elle appartenait à A. Sugnens et N. Guisar. L'inventaire a été réalisé à la demande de N. Quitan, sur la base des informations fournies par le directeur actuel de la plantation, H. Schmoutzinger. L'évaluation a été effectuée par les priseurs de la colonie, les honorables H. Gotenaar et Leonard Oostendorp.

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Le 1754, Marica Cmilia de la Riviere van Werve, épouse de Antony Cev van Sabst, devient propriétaire de la plantation Zorgvliet en Suriname par vente aux enchères publiques. L'inventaire est réalisé par : Le recensement est effectué selon les déclarations du directeur C. P. Geniets et enregistré par le greffier du secrétariat du Suriname. Les terres comprennent :
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