Transcriptions » Résumés de documents historiques récemment créés

Les utilisateurs des Archives Ouvertes peuvent disposer d'un résumé des transcriptions réalisées à l'aide de la reconnaissance d'écriture manuscrite.
Les deux tâches de l’intelligence artificielle ne sont pas parfaites, mais souvent plus que suffisantes pour rendre le document historique compréhensible. Dans les transcriptions, les noms sont soulignés en vert et cliquables (pour rechercher les entrées personnelles sur les Archives Ouvertes pour le nom en question), les dates reconnues ont un fond gris clair et les noms de lieux reconnus ont un fond violet clair.


Le 12 du mois, Christo van La Rue, habitant de la colonie de Suriname, devint propriétaire de 2 plantations appelées Stokwijk et Zeewijk. Il voulait les placer dans un fonds de négociation créé par George Henrik de Welde d'Amsterdam, qui en était également directeur, afin d'y participer et d'en tirer profit.

Pour cette raison, Christo van La Rue fit évaluer ces 2 plantations par Jan IJsak de Haan et Stolling, experts estimateurs de ces terres, le 20 avril de l'année en cours :

De plus, il y avait un inventaire complémentaire et une estimation de 11 esclaves particuliers appartenant à la plantation Stokwijk, réalisés par les experts estimateurs Johannes Winne et C. Stolling le 13 mai, pour une somme de 8865 florins.

Le montant total s'élevait donc à 259645 florins et 9 sous.

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11 mai 1769, une assemblée générale de l'église réformée néerlandaise fut organisée à Paramaribo au Suriname. Cette réunion se tint le 13 février 1769 selon le calendrier mentionné dans le document.

Les participants comprenaient :

Le dimanche 5 du mois, le révérend Tallans ouvrit l'assemblée par un sermon édifiant basé sur le Psaume 127, verset 1 : "Si le Seigneur ne garde pas la maison, ceux qui la construisent travaillent en vain ; si le Seigneur ne garde pas la ville, les gardiens veillent en vain." Il expliqua que tout travail ecclésiastique devait être entrepris sous la direction de la Providence divine, tout en reconnaissant que les bâtisseurs de l'église devaient accomplir leur travail en étant conscients de leur dépendance à Dieu.

Le 11 mai 1769, lors de la première journée de l'assemblée, deux délégations furent envoyées chercher solennellement les membres du conseil politique selon la coutume, chaque délégation étant dirigée par un pasteur. Les conseillers honorables I. Sreimen et Senw. Bedloo, représentants du conseil politique, furent ainsi accompagnés à l'assemblée.

Après que le président Tallans eut béni la réunion par une prière fervente, les représentants du conseil expliquèrent qu'ils avaient été mandatés par le conseil politique pour assister à cette assemblée générale de l'église. Ils exprimèrent leur espoir que toutes les affaires seraient traitées avec unanimité et dans l'intérêt de Dieu et de ses communautés dans le pays. Ils promirent généreusement d'assister l'assemblée de leurs conseils quand nécessaire et de présenter favorablement au conseil politique les affaires qui devraient y être portées. Le révérend président répondit au nom de l'assemblée.

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Le 24 juillet 1693, à bord du navire Staden Lande naviguant d'Oostende vers Gissinge, à 8 miles de distance, Cornelis Claessen, Boij Rijvoirsen et Bouder Steffens ont signé un document en présence du secrétaire Cld. Sibille.

Le document contient une copie d'un connaissement (document de transport maritime) signé par le défunt capitaine Hendrick Nannings. Ce capitaine disposait de lettres de mer du duc de Holstein et Sleeswijck, ainsi qu'une lettre de bourgeoisie (certificat de citoyenneté) datée du 5 août 1692. Le navire a eu un accident en sortant de la rivière de Bordeaux. Le navire était maintenant dirigé par le timonier Cornelis Cloessen.

Hendrick Nannings était capitaine du navire appelé St. Maria, qui était ancré devant Bordeaux et devait naviguer vers Copenhague dès que le vent le permettrait. Il déclare avoir reçu de Monsieur Jean Clock la cargaison suivante :

Il s'engage à livrer cette marchandise à Copenhague à Monsieur Philip Hackaert ou à son représentant, contre paiement d'un fret de 20 riksdalers par tonneau et 1 riksdaler par tonneau pour le droit de courtage.

Le 7 juillet 1693, le contre-amiral De Vries rapporte aux Hauts et Puissants Seigneurs (le gouvernement néerlandais) qu'il a écrit sa dernière lettre le 28 juin. Le 1er juillet, il a rencontré un convoi suédois et danois venant des royaumes du Nord, composé de 22 navires marchands et 2 navires de guerre se dirigeant vers différents ports en France.

Après avoir contrôlé leurs passeports et documents, il les a laissés continuer. Cependant, un matelot anglais lui a signalé qu'un navire français se trouvait parmi eux. Le commandeur Jae Matthijse a recherché ce navire et a trouvé le Jacob de Rouen, venant de Dantzig, chargé de 412 lasts (unité de mesure) de goudron. Le capitaine prétendait aller à Dunkerque, mais le connaissement indiquait Dieppe. Le navire ayant une fuite, il a décidé de l'envoyer comme prise à Ostende ou Flessingen selon ce qui serait possible.

Il a également détaché 4 navires pour patrouiller devant Dunkerque : le capitaine Maerten Bareulst Boom, le commandeur Cnooper

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Le 23 juillet 1838, Theodorus Haasen, un marchand résidant à Grave, agissant comme mandataire du notaire Wilhelmus Wolterus van der Meulen basé à 's-Hertogenbosch, a déclaré qu'une vente publique aurait lieu le 30 juillet dans la commune de Reek, à l'auberge de Hendrikus van der Meulen, à 10 heures du matin.

Les biens mis en vente comprennent :

  • Les dîmes sur les récoltes de céréales
  • Les droits sur le bétail
  • Des centaines de moutons
  • Des ruches d'abeilles

Ces biens, situés dans la commune de Reek, appartiennent à Wouter Wilhelmus Jan Heeren, propriétaire terrien résidant à 's-Hertogenbosch.

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En 25 juillet 1816, une réunion du conseil se tient en présence du président Van Meerten et des conseillers Lammens, Mirandolle, Morant, Graafland, Nedenburgh, Brunings et le secrétaire de Hoff. Les points traités sont :
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En 1766 et 1767, plusieurs événements importants se sont déroulés dans la colonie :

  • Une patrouille est établie près d'un village de marrons derrière la plantation Vreedenburg à Para. Le poste de Sucemombo est renforcé avec 1 officier et 25 hommes.
  • À Pirika, 15 hommes renforcent les patrouilles pour intercepter les esclaves en fuite de la plantation Rietwijk.
  • Deux postes sont installés à Pirika : un sur la plantation Rietwijk et l'autre sur l'ancien Concordia, sous le commandement de l'officier de l'ancien Bellair.
  • Texier est condamné pour avoir écrit une lettre insolente à Polet. Il doit déchirer la lettre publiquement et est condamné à 14 jours au pain et à l'eau.
  • Des patrouilles de citoyens volontaires de Para découvrent un village de marrons, capturent une petite fille et tuent plusieurs fugitifs.
  • A. Coeberg est nommé passeur de bac, et C. Rijneke remplace P. Iansen comme palefrenier.
  • I. W. Piehot reçoit 1500 florins par an pour l'entretien de son fils mineur, prélevés sur l'héritage de feue Madame Scherping.
  • En 1767, 5 barges sont utilisées pour transporter hommes et provisions vers le commandement du Capitaine Lieutenant Dorig à Saramaia.
  • Des esclaves capturés de la plantation Rietwijk sont vendus au profit du poste, et des primes sont payées pour trois enfants.
  • Le prédicant Roijere demande sa démission.
  • I. I. Polak est nommé maître des orphelins de la nation juive.
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Le 2 février 1778, un rapport est fait concernant les esclaves fugitifs de la colonie qui ont traversé la Maroni. La situation remonte au 26 novembre 1777, quand la Société (administration coloniale) a adressé une lettre aux autorités. Le 18 novembre 1777, une correspondance a été échangée concernant ces esclaves marrons.

Le 23 septembre 1777, le comte de Vergennes, ministre des Affaires étrangères de France, a répondu à l'ambassadeur Lestevenon van Berkenrode concernant plusieurs demandes :

  • Interdire au gouverneur de Cayenne d'accueillir les esclaves fugitifs
  • Ne pas entraver les expéditions contre ces fugitifs au-delà du Maroni
  • Empêcher que ces fugitifs obtiennent des armes, de la poudre ou du plomb

Le roi de France a chargé le comte de Vergennes d'examiner ces demandes. Une lettre de l'ambassadeur au greffier, datée du 25 septembre 1777, accompagnait cette correspondance.

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15 décembre 1751 : Rien à signaler. 16 décembre 1751 :

  • Son Excellence a présidé la Cour de Police le matin.
  • Le Commandant et le Capitaine Bernharde, chargés d'inspecter les navires de garde contre les incendies, rapportent des désagréments avec les capitaines et les officiers.
  • La Cour, jugeant ces plaintes importantes, a chargé le procureur fiscal de mener une enquête approfondie.
  • Son Excellence a ordonné à l'inspecteur d'être diligent dans ses fonctions.
  • L'après-midi : vente d'esclaves du navire Geertruijda Galeij, commandé par le Capitaine Hermanus Vermout.
  • La fumée persiste malgré la pluie.
17 décembre 1751 :
  • Le Capitaine Auke Valkenburg a signalé par lettre son manque d'équipage. Son Excellence y a remédié immédiatement.
  • Les messieurs D. Grande, Du Maurin, et Haverman ont prêté serment devant Son Excellence et deux conseillers.
  • Son Excellence a présidé la Cour de Police le matin.
  • L'après-midi : vente d'esclaves.
  • Son Excellence a acheté pour la Société un esclave pour 345 florins et un autre pour 220 florins hollandais.

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Le gouverneur, après avoir donné une autorisation au plus ancien conseiller politique présent et confié le commandement militaire au major De Boisquijon en l'absence du lieutenant-colonel Spiering, est parti pour sa plantation Rust en Werk le 4 octobre 1757. Le 6 octobre 1757, il est revenu à Paramaribo. Un détachement militaire sous le commandement de l'officier Marchant est parti pour le Suriname le soir même. Le 7 octobre 1757, le capitaine Du Morin a informé que des esclaves fugitifs avaient été repérés à Para. L'enseigne La Chau a reçu l'ordre d'enquêter et de faire un rapport. Cette nuit-là, le peseur de café Jan Roll est décédé. Le 8 octobre 1757, le gouverneur est parti à 9h pour la rivière Suriname pour faire prêter serment aux citoyens, accompagné de :

La forteresse Zeelandia a tiré 7 coups de canon pour son départ. Une lettre concernant les esclaves fugitifs est arrivée de Para et a été remise à Creutz. Le soir vers 19h, l'inspecteur des sucres Johan Rodolph Wettstein est décédé.

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Le 30 août 1775, une petite patrouille de Noirs libres est envoyée près de Paramaribo pour espionner des esclaves en fuite. Ils rapportent avoir découvert un nouveau village avec des terres cultivées et avoir rencontré 7 fugitifs. Ils en ont blessé 4 mais n'ont pu les capturer, étant trop peu nombreux.

Le 31 août 1775, le capitaine Larcher, commandant de la forteresse de Nieuw Amsterdam, envoie un caporal en détention à la forteresse Zuelandia pour comportement inapproprié.

Le 1er septembre 1775, le colonel Fourgeoud demande des renforts pour remplacer ses hommes malades et épuisés par la sécheresse. Le commandeur convoque extraordinairement la Cour de police qui accepte d'envoyer des renforts, y compris des Noirs libres.

Ce même jour, des ordonnances de paiement sont émises pour :

  • 34 322,10 florins pour les officiers
  • 180 florins pour les inspecteurs
  • 146,15 florins pour l'artillerie

Le 2 septembre 1775, le directeur de la plantation Raca rac signale un complot d'esclaves visant à l'assassiner. Le propriétaire Jan Ferrand part enquêter après l'arrestation de 3 meneurs.

Le 3 septembre 1775, le pasteur Snijderhans prêche.

Le 4 septembre 1775, deux nouvelles compagnies de Noirs et mulâtres libres sont formées près du canal de Wanica, avec présentation des officiers.

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En décembre 1771, plusieurs événements importants se déroulent à Suriname :

  • Le 19 décembre, une ordonnance de 84,15 florins est émise concernant un esclave condamné aux travaux de fortification.
  • Le 20 décembre, une réunion de la Cour de Police nomme deux candidats au poste de Conseiller de Justice civile : I.F. Andre (6 voix) et G. Koenen (9 voix).
  • Le 21 décembre, G. Koenen est élu Conseiller. Le même jour, 9 esclaves sont exécutés.
  • Le 23 décembre, arrivée du navire Pollij, commandé par le capitaine Gedeon Craffort, venant de Rhode Island.
  • Le 27 décembre, un passeport est délivré au capitaine W. Timmons pour Philadelphie. Un poste militaire est établi dans la Orleyne Creek suite au meurtre d'Arabet par des fugitifs le 5 juillet.
  • Le 28 décembre, arrivée du navire Vrouw Catherina, commandé par le capitaine Michel Golards, venant d'Amsterdam, avec :
    • Des lettres officielles datées du 18 et 28 septembre 1771
    • Des lettres de change pour 15.354,15,8 florins
    • Des provisions (50 tonneaux de viande fraîche, 30 barils de poisson, 30 barils de gruau)
    • Des matériaux de construction
    • 12 passagers militaires
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Le 22 décembre 1745, il a été question de prévenir la vente de viande contaminée provenant de bêtes malades, pour éviter la propagation de maladies parmi les humains et les animaux. Un placcard de 8 février 1717 est renouvelé avec une modification : quiconque vend sciemment de la viande d'animaux malades sera puni.

Trois requêtes ont été présentées au conseil :

Le 23 décembre 1745, P. Chambrier a informé les membres de l'indisposition du Gouverneur et a présenté un document l'autorisant à présider les affaires en cours. Les notes du 22 décembre, le placcard et la notification ont été examinés.

Les sieurs Guldensheeden et Schultz ont fait rapport concernant l'interrogatoire d'un esclave noir fugitif de Cettical.

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À la mort de Lagies au Oranje pad, ses biens ont été transmis à Groebe. Les biens militaires de Kemnetz ont été distribués aux personnes n'en ayant pas encore reçu. À la mort de Gabriel Mons, il manquait des planches pour fabriquer son cercueil. Le conseil a donc décidé d'acheter des planches hollandaises ou anglaises. Le conseil n'a pas trouvé de chirurgien qualifié pour diriger l'établissement.

G. Raije a demandé à être nommé directeur des terres cultivables du Oranje pad en remplacement de Netzius qui a démissionné. Le 11 mars 1756, le conseil l'y a autorisé.

Une instruction a été lue concernant H.N. Herbert, S.J.G. Steenge et Frederik Hutting nommés évaluateurs des factures des médecins, apothicaires et chirurgiens. Les règles suivantes ont été établies :

  • Les évaluateurs doivent travailler en bonne harmonie et impartialité
  • Ils se réuniront 2 fois par semaine, les mercredis et samedis de 15h à 18h
  • Les réunions se tiendront dans la maison de pierre près du nouveau cimetière, en attendant qu'une salle appropriée soit disponible, puis chez le Dr Herbert
  • En cas d'absence injustifiée d'un membre, les deux autres pourront procéder à l'évaluation
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Le 4 juin 1751, il est rapporté que lorsque 13 ou 14 esclaves ont voulu se rendre chez les Pacificateurs en Saramacca, deux d'entre eux se sont séparés du groupe et sont revenus en arrière. S'étant perdus dans la forêt et entendant des bruits de coupe de bois, ils se sont dirigés vers ces sons. Ils ont demandé leur chemin à des Noirs qu'ils y ont trouvés, mais ceux-ci les ont capturés comme fugitifs et les ont livrés.

Les deux esclaves, Hendrik et Digo, ont avoué leurs intentions. Une sentence exemplaire est demandée contre eux.

Concernant l'esclave October, il a avoué plusieurs faits :

  • Il a parlé avec Abraham dans les jardins vivriers de la plantation Overtoom
  • Abraham (appartenant à cette plantation) avait été envoyé avec Picolet chez les Pacificateurs
  • Avec Abraham se trouvaient les esclaves Baboen Amon, La Roque et plusieurs autres esclaves dangereux qui s'étaient enfuis
  • Il savait que les fugitifs, dont un autre Amon et Baboen, étaient venus ou devaient venir pour assassiner le sieur Pallak et piller sa plantation
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En date du 4 juin 1751, il est rapporté que :

  • Picolet, encore vivant, était avec les esclaves fugitifs
  • Abraham (aussi appelé Pincoor) avait prévu d'attaquer la plantation Overtonnquae avec d'autres fugitifs, mais October et Bouffon l'en avaient empêché, car la fille d'Abraham était l'épouse d'October
  • Abraham avait appris que les fugitifs projetaient d'attaquer les plantations Overtoom et celles appartenant aux seigneurs Pallak et Robin
  • October est accusé d'avoir promis de fournir des armes, de la poudre et des balles à Amon, bien qu'il ne l'ait pas fait
  • October a reçu Abraham dans sa maison

Suite à ces faits, October est considéré comme hautement criminel pour n'avoir pas informé son maître, les Blancs de la plantation ou les Blancs du voisinage de ces événements. Par son comportement, il a mis en danger non seulement les plantations Overtoom, Pallak et Robin, mais aussi toute la colonie.

La sentence demandée est qu'October soit conduit au lieu habituel d'exécution pour y être supplicié sur la roue, vivant, depuis le bas, jusqu'à ce que mort s'ensuive, puis que sa tête soit coupée.

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Le Heer I. Caucanas a obtenu, par un jugement du 22 août 1786 rendu par la Cour de Justice civile de la colonie, que Dido van Butini, une femme libre, soit condamnée à payer :

  • Les frais de procédure
  • Le montant contesté jusqu'à satisfaction complète et effective

Si ultérieurement il était décidé que la somme versée par Dido van Butini devait lui être restituée et que Heer I. Caucanas ne s'exécutait pas, le comparant s'engage à rembourser immédiatement la dette comme si c'était la sienne, dès la première demande.

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Le 1er septembre 1805, Gottfried Heinrich Henningsen, directeur de la plantation La Palousie, fait une déclaration légale. Il annule tous ses testaments et documents similaires précédents. Dans son nouveau testament, il lègue :

  • 10 florins aux pauvres de l'Église réformée de la ville où il décédera
  • 30 florins aux pauvres de l'Église luthérienne de la ville où il décédera
  • 1500 florins à Magdalena Henrietta van Buttini, une mulâtresse libre et baptisée, en reconnaissance de ses services fidèles

Il demande que ces legs soient payés immédiatement après sa mort avec l'argent disponible. Si les fonds ne sont pas suffisants, le paiement devra être effectué dès que possible avec les premiers revenus, car il souhaite expressément que ces legs soient remis avant la liquidation complète de ses biens.

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Le testateur lègue au bénéfice d'une jeune fille mulâtre libre et baptisée, Susanna Henrietta Philipina, fille de la mulâtresse libre et baptisée Magdalena Henrietta van Buttini, une somme de 500 florins. Cette somme doit être :

  • soit placée pour générer des intérêts annuels à son profit
  • soit utilisée pour acheter un esclave ou une esclave à son service

Il lègue également à sa sœur Anna Catharina Maria Henningsen, épouse de Jacob Booijsen, habitant à Schleswig dans le duché de Holstein, l'héritage qui lui vient de leur père David Johann Henningsen. Cet héritage est placé sous la supervision de son mandataire Nicolaas Roh, avec tous les intérêts accumulés jusqu'au jour du versement. Le capital et les intérêts doivent être versés immédiatement à sa sœur dès que les exécuteurs testamentaires l'auront informée de son décès, après déduction des frais de gestion selon la coutume locale.

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En 1705, devant la cour de justice civile de la colonie de Suriname, Frans Bradpot Junior, procureur pour Antforis Faures, représentant le comptoir de négociation sous la direction de S.F. Chatelau à Amsterdam, présente une requête contre : La procédure concerne un acte hypothécaire présenté devant la cour en présence des honorables conseillers : Le procureur Jan Houtffuijs, spécialement mandaté par l'acte hypothécaire, déclare consentir à la demande au nom des parties requises. L'acte est ensuite examiné par la cour.
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En octobre-novembre, plusieurs transactions et décisions administratives ont eu lieu à Paramaribo :

  • Autorisation de stockage de rations militaires dans le magasin du royaume après inspection
  • Renonciations au droit de préemption pour :
  • Retenue sur salaire de 22,10 florins pour S. J. Freha, huissier de la Cour de Justice, au profit de Jacob Nahar
  • Demande de comptes du magasin militaire pour l'année 1824 et les quatre premiers mois de 1822
  • Prélèvements sur les traitements des officiers pour la caisse des veuves et orphelins : 11352,77 florins surinamais
  • Allocation de 600 florins surinamais à l'auditeur militaire C. P. Mirandolle pour frais de copie et d'écriture extraordinaires
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Voici la scène qui se déroule à Paramaribo :

La transaction implique plusieurs personnes :

L'acte est enregistré sous le numéro 168.

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Ce texte juridique historique décrit une transaction qui a eu lieu aux 17e ou 18e siècles (d'après le style d'écriture) dans les Pays-Bas. En voici les points principaux :
  • Une propriété (maison et terrain) fait l'objet d'une saisie judiciaire.
  • H.N. Broekhooven propose de racheter la créance et les droits d'exécution.
  • Le montant total de la transaction s'élève à 860 florins et 17 stuivers (ancienne monnaie néerlandaise).
  • Cette somme comprend le montant principal, les frais de justice et les intérêts.
  • Le créancier accepte l'offre et transfère tous ses droits à Broekhooven et ses ayants droit.
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Le 1er octobre 1786, Johan Christiaan Brotze est décédé sur la plantation Nout en Radelijk. Un inventaire de ses biens et esclaves a été dressé à la demande de Jan Antonie Job, qui avait été nommé exécuteur testamentaire et tuteur des héritiers mineurs par codicille du 4 octobre 1786. Ce codicille avait été établi à Paramaribo devant le premier clerc assermenté W.H. Esser et des témoins. L'inventaire a été réalisé et transcrit par Gijsbertus Johannes Teelmann, clerc assermenté au secrétariat de la colonie du Suriname.

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Le 27 janvier 1776, depuis Suriname, H. D. Lobre rédige une lettre de change destinée à Jan & Theodore van Marselis à Amsterdam. Il leur demande de payer à J. C. Brotze ou à son ordre, 6 semaines après présentation, la somme de 192 florins et 10 sous. Ce montant correspond à un semestre de salaire comme directeur de la plantation Salsthale. Le 12 février 1776, J. C. Brotze endosse cette lettre à l'ordre de Daniel Salomons Blog, ayant reçu la contre-valeur de Salomon Gomperts.

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Le Commewijne, situé sur la rive droite entre les plantations de Liliendaal et Sorgkriel, appartenait à l'honorable Jacques Roua. L'inventaire a été réalisé à la demande du propriétaire et selon les indications du responsable J. J. Brotze. L'estimation a été faite par les honorables F. L. Chailes et N. Guiran, et enregistrée par le greffier assermenté J. F. H. Ardrew au secrétariat de la colonie du Suriname.
  • La propriété totale selon la carte: 1000 acres, valeur 80000 florins
  • Terres cultivées N°1: parcelle de 15 acres dont 12 acres plantés
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