archieftoegang 2.10.02, inventarisnummer 4807, pagina 33
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ala mortalité aux indes, et specialement la mortalité par cholera, est donc 28 superieure a celle qu‛indiquent les documents officiets que j'ai places sous les yeux de la Conference, et qui la si tortement emue. Or, quel etait notre argument. L‛honorable M. Cuningham me semble avoirre pondu a autre chose qu‛a ce que nous avions voulu dire. Notre tese n‛etait pas qu'il taut assainir linde, ni ameliorer son systeme d‛enregistrement. Si desirable que cela soit, ce n‛est pas notre allaire. C‛est une allaire interieure. Ce n‛est pas l‛objet de la presente Conterence. aNotre these était celle ci: Puisque l‛Inde n‛est pas assainie, puisque le cholera y nait et s'y mul- tiplie, puisque la mortalité choterique y est eltroyable, qu‛elle compte chaque année ses victimes par centaines de mille, puisque M. Thorne-Thorne nous a declaré que ni nous, ni nos descendants ne verrions l‛extinction du cholera aux indes, vous dever prendre des mesures energiques et efficaces dans les ports de linde, alin d'empecher, pour autant qu'il depend de vous, l‛exportation d'un si grand mal. Or, que demandons nousl Seulement la visite medicale et la desinfection au port de depart. M. Cuningham nous objecte que, d'apres les Conferences de Venise et de Dresde, te danger n‛est pas dans te lieu d‛ou part te navire, de sorte qu‛en demandant que des mesures soient prises dans te port de depart, nous terions une ceuvre de reaction contraire aux principes adoptes dans ces deux Conse rences. I semble qu'il y ait la une erreur d'appreciation. Ces Conferences ont dit qu'il lallait combattre te cholera te plus pres possible de son lieu d'origine, elles ont voulu en meme temps que, pour le vaincre plus tacilement, on restrei snit le plus possible te champ ou on l‛attaque, que lon envisagedt, non pas letat du port, mais celui du vaisseau. Vous appliquons, en les portant plus 1oin, ces principes en demandant qu‛on prenne des mesures non pas a legard du port, non pas meme a l‛exard du raisseau, mais a l‛exard des individus, et cela dans les ports des pays ou nait te cholera. aVos demandes sont a peu pres les memes que celles taites par toutes les Conferences anterieures, et le sort qu‛ont eu ces demandes serait de nature a nous laisser asser peu d‛espoir, si la situation n‛etait pas toute nouvelle. les Anglais ne se trouvent plus, en ellet, en presence de ces quaranta teur paraissaient injustiliables, ruineuses pour te commerce, qu'ils decla taines qui raient meme dangereuses pour la sante publique. leu a peu, graduellement, suivant les progres realises dans les pays differents, des moyens de de tense a la tois plus rationnels, plus efficaces et insiniment moins genants sont substitués aux quarantaines. Il depend de l'autorits britannique de nater cette 29. substitution en prenant elle meme, dans les poris de l‛inde, ces mesures et en les prenant d‛une maniere si ouverte et si energique qu‛elles inspirent aux autres nations une conliance entiere. aEille y a le plus evident interet. le chotera, dont cher elle la production est constante, se propase soit par les individus malades, soit par les objets qu‛ont souilles leurs dejections. Qu‛elle empeche donc tout malade detre embarqué, qu‛elle empeche d‛etre embarque tout objet susceptible de transmettre te mal. Si elle prouve d‛une maniere indiscutabte qu‛elle a fait cela, ne sera telle pas en bonne situation pour demander qu‛ensuite, sur le trajet, on reduise au minimum les entrares apportees a la marche de ses navires Nous insistons sur ce point a cause de sa grande importance, car nous ne rencontrons pas ici de contestation. Votre collegue, M. Thorne Thorne, nous a dit en ellet que lun des moyens de detense a consiste dans l‛elimination au a point de depart du pelerin que l‛on croit atteint du cholera, et dans la desin- „tection des objets que l‛on suppose etre infectes. Pour tout ceci, atil aajouté, je me joins a vous 10. ale n‛est certainement pas demander une chose excessire, nimeme difficile, que de demander que lon organise a Caloutta, a Bombay et a Kuratchee une visite medicate serieuse despeterins, et une desinlection serieuse de leurs effets. al‛inspection medicate On nous a dit qu‛elle se lait, du moins on nous a dit qu‛elle se lait a Bombay. Pour Calcutta nous sarons peu de chose a cet egard, et quant à Ku ratchee, il parait evident, d'apres la lecture des rapports, que cette inspection ‛elle se lit, suriout en prealabte ne s'y lait pas. I serait cependant important consideration des importations possibles dans te solte Persique. „luisqu‛on nous dit que l‛inspection se lait regulierement a Bombay, nous te croyons, et nous nous en rejouissons, car bombay est te point ou il est te plus cette inspection soit constante et rigoureuse. le cholera y est necessaire que quotidiennement introduit. Meme lorsqu'il n'y apparait pas à en ellet pr que, il lant en redouter les approches et en prevenir l‛exportation, l‛etat epidemig car lon a observe ce tait vraiment extraordinaire qu‛a Bombay, sur cent per- sonnes mories du chotera, plus de 8o sont étrangeres a la ville 21. a Vous aver donc tres bien lait d‛instituer l‛inspection medicate que le Nutive Passenger ships Act ne rendait que lacultative. leut ets interessant pour la Confe- rence d'avoir quelques detaits sur ce sujet, d'apprendre par qui cette inspection 1 Commission relative a la mer Rouge. Proces verbal ne10. p. 3. 1 84. 3p. o10 en 1888. Report on sanitary measures in India in 1888. 1889. p. 132.
Bronvermelding
Nationaal Archief / Rijksarchief Zuid-Holland, archieftoegang 2.10.02, Inventaris van het archief van het Ministerie van Koloniën, 1850-1900, inventarisnummer 4807, OPENBAAR ARCHIEF 1850-1900, Verbalen, Verbalen, 1894 apr. 12 - 16
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