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archive access 2.10.01, inventory number 858, page 23

M. M. le President et les Directeurs de la Socicté
de Commerce des Pays Bas, Amsterdam,
Londres le 11 Nout 1832
Messieurs.
Conformement a votre demande, nous nous sommes
entretenus avic M. M. Plennie e E. au sujet du maniement
de votre Cloche: a. flongeur, et nous vous dirons franche.
ment que ces Messieurs se doutent fort, des qualités
naturelles de Mr. Boeckholtz, pour que l‛on puisse
le lui confier seue: ce jeune homme leur ayant parie pour
cela, trop timide et trop indécis a l‛occasim des Essais
qu‛on a fait de cette machine en sa presance.
M. M. Hennie, disent, que le maniemont, (quelques
difficultes qu'il offie) ne demande point de genie nid
injencuté et qu‛un ouvrier ordinaire, qui joint un peu
d'adresse a l‛esprit ferme, et stable, un homme far
exemple, que l‛on frend roct four temonnier ou second, feut en
apprendre le Procedé fort aisement. Aussi fensent ils
qu‛oa trouvera cette fermeté et etabilité si necessaire
a l‛excreice du manument plutit dans un Européen que
dais unetsiatique, et si toutefois vous aiméx donner„
la Surint en dance de la Machine a Mr. Boeckholtz,
ils vous conseillent de lui associer un tal homme, que
nous venons de vous designer pouc l‛Enereie effectif
du maniement.
Pour ce qui regardé les objets encore Commandés
far Votre lettre du 27 Juillet, H. M. Plennie 8 le. persent
que les habits de flenelle avee bonnet ou lapueton de la
meme et offe, ne peurent etre d'aucune utilité dans den
Elimat aussi chand que celui Aujapan, et que ce sont seule
,ment les grandes bottes, qu'il vous en faiit; nous leur ayart
Chargé

te doen nemen, dien Heer
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